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2 février 2012 4 02 /02 /février /2012 17:35

Voici quelques "premières" nouveautés, à commencer par une horloge et des nouveaux porte - couteaux avec de nouveaux "packaging" pour lesquels j'ai utilisé des petits sacs en tissu et des carapaces ... d'araîgnées de mer (en ayant pris soin de me régaler du contenu) !!! Les porte-couteaux connaîssent un vrai succès dont la fameuse série berbère orange, ce qui explique que j'en refasse régulièrement !

 

Demain, je vous mettrai en ligne les nouveaux bijoux et une lampe surprenante sur le thème des roses de sable et de mer !

 

Quant aux travaux de la résine, j'espère pouvoir vous montrer quelques réalisations la semaine prochaine (très certainement les dessous de bouteille, très réussis). Mais il faut bien avouer que le travail de la résine, ce n'est pas évident du tout ! Après avoir dépensé pas mal de sous dans des résines prêtes à l'emploi vendues dans des boutiques d'arts créatifs (pour des résultats complètement ratés, je l'avoue ...), je me suis finalement rendue compte que la résine vendue par le petit droguiste de mon quartier était beaucoup, beaucoup plus simple à utiliser et surtout, donnait d'excellents résultats (sans parler du fait qu'elle coûte 10 fois moins cher, vous avez bien lu ....) !!!

 

Pour ceux qui n'auraient pas eu le temps de feuilleter les albums enrichis, voici également les derniers magnets, pinces à linge et coquetiers !!

 

A demain pour de nouvelles suprises !

 

Horloge-galets.JPG   Porte-couteaux oranges dans une carapace d'araîgnée de me  porte-couteaux à table  Nouvelle série magnets coquillages  Pinces à linge coquillages Coquetiers et plateau

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  • : Le blog des galets du maroc
  • : « Ballotés par les flots et usés par le temps, les galets marocains apaisent par leur présence. Ils apportent équilibre et sérénité ». Je leur offre une seconde vie décorative ou utilitaire au travers de mes créations.
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Chaque lame qui venait briser sur la côte, s'avançait en mugissant jusqu'au fond des anses, et y jetait des galets à plus de cinquante pieds dans les terres.

[Bernardin de Saint-pierre, Paul et Virginie]

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